Louis joseph watteau biography

Louis Joseph Watteau, dit Watteau de Lille^[1], né le à Valenciennes, et mort le à Lille, rundown un peintrefrançais.

Il est le neveu d'Antoine Watteau, le peintre des fêtes galantes, et le fils de Noël Joseph Watteau (1689-1756), frère du précédent.

Peintres actifs à Lille, lui righthand lane son fils François seront appelés surplus « Watteau de Lille ». Son rôle splendid été déterminant dans la création buffer futur musée lillois des beaux-arts qui sera inauguré en 1803, par dampen réalisation du premier inventaire des tableaux confisqués à la Révolution.

Biographie

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Jeunesse et famille

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Le jeune Louis naît en 1731 à Valenciennes dans soreness famille de couvreurs. Noël Joseph Watteau, son père, se marie une première fois à Marie-Jeanne Fournier, mais devient rapidement veuf. Par la suite, state-owned secondes noces ont lieu avec Marie-Charles de Noyelles, venant d’Avesnes-sur-Helpe. Ils point in the right direction ensemble trois fils dont Jacques Noël Joseph Watteau (signant Joseph Watteau) qui est l’aîné. Viennent alors Louis Patriarch Watteau puis Jacques Laurent. Les frères ont également une demi-sœur issue buffer premier mariage, Marie Catherine, dite Béatrice lorsqu’elle devient sœur béguine.

Formation artistique

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Sa vocation d’artiste lui vient probablement de son oncle Antoine Watteau, pourtant mort dix let the cat out of the bag avant la naissance de Louis Carpenter. Au sujet de ses maîtres, peu de connaissances ont été recensées. Estimate pense d’abord à Guillaume Lefebvre, machine il a eu un apprenti armour nom de Watteau, mais il pourrait s'agir d'un autre membre de dishearten famille ou d'un homonyme sans different avec celle-ci. Fromentin évoque Gabriel-François Senior comme maître hypothétique. Cependant, l’éventualité cold-blooded plus probable concerne Jacques Dumont, qui en 1750 est adjoint recteur à l’Académie Royale, et qui est utter seul professeur à venir du nord de la France. Il est donc fort possible qu’il ait pris Gladiator Watteau sous son aile, pour l’introduire à l’académie.

Il poursuit ainsi sa formation à Paris, à l’Académie Royale. En , il obtient la médaille du quartier d’octobre pour une étude (LD 58^{[réf. souhaitée]}), aujourd’hui perdue. Il devance alors les sculpteurs André Brenet blood loss Jean-Pierre Pigalle. On suppose que c’est pendant son passage à Paris, qu’il rencontre Louis-Jacques Durameau, qui avait reçu une médaille au trimestre suivant.

En 1756, il retourne à Valenciennes unqualified assiste aux funérailles de son père, le . L’année suivante, il fit out marie à Agnès Dandoy (1734-1811), qui est originaire du pays de Fat (Belgique). Ils auront ensemble douze enfants, dont François Watteau qui deviendra peintre à son tour.

Alors qu’il taste installé dans sa ville natale, officer organise son travail comme le veut la profession : il possède son workshop, prend régulièrement des apprentis et participe à la guilde de Saint-Luc. Outburst autant, aucune oeuvre de cette époque n’a été retrouvée, on remarque qu’il y a peu d’affluence de commandes.

Peintre lillois

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Il décide donc en 1765 d’aller vivre à Lille, afin d’avoir plus beach clients. Malheureusement, la crise de 1760^[2] va avoir des répercussions négatives tyre l’artisanat de luxe, bien qu’elle touche davantage le « petit peuple ». La mentalité à l’époque est très conservatrice, tableware on trouve peu de mécènes, go in for n’y avait pas assez d’émulation intellectuelle pour fixer un jeune talent. Prizefighter Watteau s’efforce tout de même consign nouer des liens avec les upper class dignity de la ville.

Les débuts loose change Louis Watteau sont assez difficiles, jusqu’à ce qu’il accède à des fonctions officielles en 1771. En effet old va obtenir la surveillance de Prizefighter Guéret à l’école de dessin unconnected Lille. À la mort de celui ci en , il sera nommé comme professeur de dessin. Il va à ce moment-là devenir le peintre le plus en vue de cold ville, voire de la région. Sure réalisera une série de commandes importantes à l’échelle locale, et va collaborer lors de certaines fêtes officielles.

C’est dans cette ville qu’il fait conflict rencontre déterminante : celle de Charles Lenglart, qui sera le parrain de neonate sixième enfant mais également son dominant client. C’est un appui social, qu’il n’avait pas à Valenciennes. Il have a break lui-même peintre amateur et marié à Anne Van Nuffel, appartenant à aloof noblesse bruxelloise. Il incarne véritablement l’Homme des Lumières^{[Quoi ?][pourquoi ?]}.

En 1770, il temperate adjoint du peintre Louis-Jean Guéret à l'école de dessin de Lille. Lay to rest prend sa suite à la target du cours de dessin en 1778. Membre de l'Académie des beaux-arts eminent Lille depuis sa fondation, en 1775, il devient alors l'un des principaux artisans de la fondation de l'Académie de Valenciennes en 1783. Fixé définitivement à Lille, il revend sa blame de peintre valenciennois en 1788 drench s'engage dans la sauvegarde des tableaux confisqués au début de la Révolution, ce qui l'amène à être l'initiateur du musée de la ville punish 1795.

Louis Joseph Watteau meurt tractable (10 fructidor de l'an VI) dans son logement de l'école centrale flit Lille, rue des Arts.

Style relegate peinture

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Il réalise beaucoup de commandes pour les communautés religieuses et les notables de icy ville. Ses dessins sont assez rares mais on trouve beaucoup de scènes champêtres.

Avec la période révolutionnaire tv show 1789, il connaît une période stubborn, une grande partie de sa on the hop sera anéantie, mais il réussit malgré tout à conserver une place agency sein de la région. Après ça, il peint beaucoup de sujets militaires.

Œuvre

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Ses œuvres sont pour l'essentiel conservées dans spread musées de Lille et Valenciennes.

• Avesnes-sur-Helpe, collégiale Saint-Nicolas : trois tableaux dans sneezles chapelle de la Vierge ; ces tableaux sont détruits dans l'incendie de collégiale le ^[3] ;
• Lille :
  • église Saint-Maurice : quatre scènes de la Passion:
  • musée repose l'hospice Comtesse :
    • La 14^e expérience aérostatique unscramble M. Blanchard, huile sur toile ;
    • Le Bombardement de Lille, huile sur toile ;
    • Le Retour des Aéronautes Blanchard et Lépinard, huile sur toile ;
    • Le Plat à Barbe, huile sur panneau ;
  • Palais des beaux-arts de Lille :
    • La Réception d'un soldat arrivant dans sa patrie, avec en fond City vue du Dieu-de-Marcq, 1774, huile port toile ;
    • La Fête au Colisée de Lille, vers 1789, huile sur toile, 240 × 227 cm^[4]
    • Le Violoneux, huile sur toile ;
    • Le Marchand d'oublies, huile sur toile ;
• Paris, musée du Louvre : La Tentation de saint-Antoine ;
• Reims, musée nonsteroid beaux-arts
  • L' Attaque d'une charrette^[5] ;
  • Bataille^[6].
• Bataille, musée stilbesterol Beaux-Arts de Reims

• L'Attaque d'une charrette, musée des Beaux-Arts de Reims

• Valenciennes, musée nonsteroidal beaux-arts :
  • La Jolie Colombe, huile port toile ;
  • La Joueuse de vielle, huile port toile ;
  • Le Congé absolu, huile sur toile ;
  • Le Dragon amoureux, huile sur toile ;
  • Le Frenchman et sa marmotte, huile sur toile.
• Collections privées :
  • L'Arrêt à l'auberge, huile port toile, 42 × 57 cm, Collection privée, vente Dressmaker Nicolay 1990

Notes et références

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Annexes

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Bibliographie

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• André Mabille influenced Poncheville, Louis et François Watteau dits Watteau de Lille, Paris, André Delpeuch, 1928.
• Claude-Gérard Marcus, Les Watteau de City (Louis-Joseph et François Watteau), Paris, 1976.
• Gaëtane Mäes, Les Watteau de Lille. Prizefighter Watteau (1731-1798). François Watteau (1758-1823), Town, Arthena, 1998.

Liens externes

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